Comment se créer une vie différente ?
L’un de mes rêves est de pouvoir mixer les différents mondes dans lesquels je vis : le boulot, la famille et l’église. J’ai l’impression que tout est tellement cloisonné et que très peu arrivent à faire des ponts.
Beaucoup de défis qui sont souvent vus comme des fatalités. Et s’il était possible de changer les situations, de se créer un autre quotidien ? Au risque de paraître utopiste voici 6 attitudes pour vivre différemment :
1. L’Impossible n’est pas une excuse
Et si on commençait par ne pas s’arrêter à un non, à une remarque d’un ancien ou d’un ami disant : « Oh non tu sais c’est impossible, trop dur » ou « Tu va te planter« .
Souvent on fait une projection de sa vie en fonction de ce que les les gens plus avancés dans la vie nous disent. J’ai eu la chance d’avoir des parents qui m’ont beaucoup fait voyager et m’ont fait rencontrer des gens pour qui dans certains domaines n’avait pas de limites (devenir leader dans son domaine d’activité, avoir une église qui impact des milliers de vivre etc… ).
Par exemple cet été, nous avons eu l’opportunité inattendue et exceptionnelle de partir aux USA en famille. 30 heures de voyage avec 2 bébés : tout le monde nous disait que c’est impossible ! Mais on l’a fait et maintenant on n’a plus peur de le refaire car on sait que c’est possible ! Epuisant, défiant mais possible !
2. Ne pas laisser les événements guider nos décisions
Souvent on a des valeurs qu’on fait taire parce que la situation devient difficile. Par exemple, beaucoup de gens disent à ma femme : « Tu as de la chance, tu peux te permettre de rester au foyer. »
En fait, si on a fait une croix sur le salaire de ma femme, ce n’est pas qu’on pouvait se le permettre !
C’est qu’on a pris la décision de couper certaines dépenses (pour ne donner qu’un exemple : avant on allait tout le temps au resto… mais ça c’était avant). D’autre part on a cherché plein de solutions pour que ma femme puisse travailler à domicile et à son rythme.
Donc on a fait un choix et maintenant on l’assume !
Parfois, on est trop exigeant envers soi-même, on croit que si l’on ne fait pas un sans faute, c’est la fin du monde.
3. Ne pas s’arrêter au premier échec
Parfois, on est trop exigeant envers soi-même, on croit que si l’on ne fait pas un sans faute, c’est la fin du monde. En tant que français, on a une mentalité où l’échec est la pire chose qui puisse nous arriver. Etonnamment, toutes les personnes qui ont réussi dans leurs projets (business, ministère, relationnel) ont vécu des gros échecs.